J’aime découvrir d’autres contrées, d’autres cultures qui me fait toujours vibrer et me donne de l’énergie, me recharge les batteries. J’ai donc décidé de visiter la Thaïlande.
Bangkok nous a accueillis avec un air chaud et étouffant, policiers sifflants avec une atmosphère bruyante et lourd.
Les taxis verts et jaunes grouillant comme des insectes tropicaux. Malgré le chaos apparent et la foule de la grande ville, à l’aéroport, tout était raisonnablement bien organisé. Les passagers qui quittent l’aéroport sont alignés en trois colonnes différentes. Un court, un taxi partagé et un multi-cabine, pour des grandes familles et qui ont beaucoup de bagages, et ils commandent leurs taxis sur une borne électronique.
Les vendeurs de rue sont comme des mouettes qui tournent autour d’un bateau de pêche. Ils sont prêts à vous vendre n’importe quoi.
À Phuket, nous avons fait trois excursions, aux îles Phi Phi, à James Bond et une visite à une ferme d’éléphants. Selon notre guide, toute personne ayant les moyens financiers peut acheter un véritable éléphant à partir de 6 ans. L’éléphant peut travailler pour son propriétaire et l’aider à gagner de l’argent. Le gouvernement paie l’assurance médicale. Quand je suis arrivé à Phuket, j’ai réalisé que tout là-bas est orienté vers le tourisme.
Les agences de voyage amènent les touristes sur l’île en catamaran. La qualité du service dépend de chaque agence. Certaines sont chaotiques, d’autres sont très organisées avec du thé et des collations à disposition. Nous sommes allés sur l’île de James Bond. La saga Bond 007 L’homme au pistolet d’or. L’agent secret interpété par Roger Moore, tournée en 1974.
Les agences de voyage amènent les touristes sur l’île en catamaran. La qualité du service dépend de chaque agence. Certaines sont chaotiques, d’autres sont très organisées avec du thé et des collations à disposition. Nous sommes allés sur l’île de James Bond. La saga Bond 007 L’homme au pistolet d’or. L’agent secret interpété par Roger Moore, tournée en 1974.
Des bijoux fantaisies sont vendus pas trop chers sur les îles. Vous pouvez y acheter des colliers en perles véritable. Surtout n’hésitez pas à marchander, les prix sont toujours surfaits. Il est vrai que les vendeurs sont très insistants ; si vous n’avez pas l’intention d’acheter, il vaut mieux ne pas demander le prix. Sinon, vous risquez de repartir avec bon nombre d’achats.
Notre embarcation appareille de la baie, ramassant “ses” touristes. Il nous a conduits à l’embarcadère où à notre arrivée nos photos prises pendant l’excursion ont été déjà développée et encadrée. Chacun décide alors s’il achète sa photo encadrée. Puis nous dînions et allions nous faire masser. C’était notre rituel du soir.
Un soir j’ai décidé de sortir de ma zone de confort et goûter au dîner les aliments exotiques, en tout cas pour moi. J’ai choisi une brochette de petits poulpes, et une autre à la viande de crocodile au goût de poulet en peu caoutchouteux, des champignons de formes bizarre dont je ne connais pas le nom. C’était assez exotique, j’ai profité pour en manger. J’ai eu aussi l’occasion de goûter du durian. C’est un fruit qui sent mauvais, mais on dit qu’il est copieux et qu’on peut même s’habituer à son goût unique.
Presque tous les restaurants et magasins ont un autel avec offrandes. J’ai vu une belle cohabitation entre les communautés Bouddhistes et Musulmanes. Pour moi la Thaïlande est un pays de contrastes. À Bangkok dans une rue modeste, j’ai vu un énorme rat traverser le trottoir et se cacher en dessous d’une Lamborghini blanche. En dessous des immeubles modernes brillants de mille lumières on trouve des chariots de fast-food bon marché.
Le soir nous nous baladions au bord de la mer. Loin du brouhaha des lieux touristiques, c’est là que je me sentais apaisée. Une légère bise, au clair de lune le sable fin doré à la lumière des lampadaires les trottoirs brillaient comme de la neige au soleil et les empreintes de pieds nus apparaissaient et s’effaçaient après chaque pas, comme s’était étrange mais une sensation très agréable.